lundi 10 septembre 2007

suite et fin des parasites

Désolé pour le retard mais j'ai été ben occupé. Alors pour faire suite à mon histoire... Samedi dernier qui je ne vois pas entrer dans le magasin....notre parasites international. Je m'empresse de lui demander s'il a déménagé dans le coins? réponses oui! (HÉ MERDE) !!!!

Ce qui est plus drôle c'est que monsieur voulait avoir une réparation sur son vélo (mouaaaaaaaaa) Non mais y a du culot le monsieur.... Mais en bonne vendeuse je lui dit pas de problème, ça va coûter tant et tu vas l'avoir dans 2 jours.

Max: ben j'ai pas d'argent sur moi mais je vais revenir te payer au début du mois. Tu me connais bien, tu sais que j'ai toujours payé. Mais faudrait que la réparation soit faites tout de suite. Je peux pas rouler comme ça.

Moi : Je ne peux pas te donner ton vélo tout de suite je n'ai pas de technicien présentement. "Mais ce que je me souviens surtout c'est que tu as essayé de vendre un bicycle qui ne t'appartenait pas. Et on ne fait plus crédit à cause des gens comme toi". (Je n'ai pas pu dire ces mots puisque d'autres clients étaient dans le magasin, mais j'aurais bien aimés les dire)

Max : Ouin mais j'ai besoin de mon vélo pour retourner chez moi.

Moi : Malheureusement, je ne peux pas faire plus pour toi.

Il n'avait pas cinquante-six milles solutions.... Et il a choisi la meilleure, il est parti (enfin) J'espère seulement qu'il ne reviendra pas.

Mais on dit que le client est roi et maître quand il entre dans un commerce alors plus souvent qu'autrement que je réfléchis avant de parler.

3 commentaires:

Rosie a dit…

Pas achalé le monsieur, après avoir essayé de vous vendre un vélo qui ne lui appartenait pas, il voulait une réparation de son vélo sur le bras.

Tu as raison, ce n'est pas un client, c'est un parasite et tu t'en es bien sortie.

Bonne journée Jo et bisous xoxo

caroline.g a dit…

Devine pourquoi j'ai pas fait long feu comme vendeuse/caissière de dépanneur ? Pas capable de réfléchir avant de parler, moi, et les gnochons, je les traite en gnochons... vive le travail autonome chenous ! ;o)

Sincèrement, je t'admire et j'admire tous les gens capables de dealer avec des colons. Je ne sais pas comment vous faites !

Josée a dit…

Rosie,

Non pas achalé du tout le monsieur. Et par chance il n'est pas encore revenu au magasin.

Caro,

C'est certain qu'il faut réfléchir longtemps avant de parler. :)hihi